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Réinvestigation

Sur la base de sources publiques, retour sur des affaires restées énigmatiques.


LA RENCONTRE DE CUSSAC (III)

Publié par Riparius sur 5 Août 2020, 15:25pm

 

 

Pour ce qui est du bruit fait par l'engin, au décollage, le fait que les témoins n'aient rapporté qu'un sifflement (se prolongeant ou se mélangeant plus ou moins avec le bruit d'un souffle), à la fois doux et aigu (attribuable à un moteur à turbine au démarrage), mais pas de ronflement ou de grondement (attribuable à un moteur à pistons, mais aussi à un rotor de pales), pourrait s'expliquer notamment par le fait que, à l’époque, un tel sifflement ne manquait pas de détonner dans la contrée, très rarement fréquentée par des hélicoptères, et dans le vécu des enfants (qui n’avaient, chez eux, ni radio, ni télévision), à l'inverse d'un bruit de pistons ou de rotor, qui peut être facilement assimilé à un bruit de tracteur ou d'autre véhicule ou engin, agricoles ou non. Les témoins auraient donc tenu spontanément – voire se seraient spontanément portés – à ne faire valoir qu'un tel sifflement, qui leur semblait réellement et exclusivement caractéristique de leur expérience. Quant au fait que le souffle des pales, au décollage, n'aurait pas remué violemment la haie, pourtant toute proche, cela semble a priori vraisemblable. Certes, il semble bien qu'un élagage de la haie – qui lui aurait conféré fermeté et stabilité, dans le vent – n'avait pas eu lieu, depuis au moins deux ans, à en juger aux propos de témoins et à des photos prises, au début du printemps de l'année suivante. Néanmoins, les relatifs petitesse et isolement de l’arbre (d’environ 6 m de haut et situé à une distance d’environ trois mètres de ses voisins) derrière lequel est censé s'être posé l'engin (petitesse et isolement qui tendent, d'ailleurs, à indiquer que cet arbre avait été choisi comme moyen de camouflage – au demeurant, imparfait [10] – étant plus facile à approcher par des pales d'hélicoptère que des arbres voisins, d’une grandeur quasiment double), de même que la discontinuité de la portion est de la haie (qui a permis aux enfants d’effectuer leur observation, au travers d’une trouée), ne pouvaient que diminuer le côté spectaculaire du souffle. En outre, selon les témoins eux-mêmes, leur attention se concentra exclusivement sur l'engin en train de décoller, en faisant totalement l'impasse sur son environnement, même immédiat (l'aîné affirmant même que, pour lui, plus rien d'autre ne semblait exister que l'engin). Du reste, bien qu’ils se soient très probablement trompés de quelques décimètres à évaluer la taille des individus (pour les raisons que nous avons déjà mentionnées), il est peu probable qu'ils aient pu mal évaluer la distance séparant l'endroit où était posé l'engin et la haie (autrement dit la position exacte du premier), tant le coin leur était familier, à toutes saisons et à toutes heures. Une déficience visuelle génétique, comme la myopie et l’astigmatisme du garçon, qui portait des lunettes depuis plusieurs années, ne pouvant, au demeurant, qu'avoir une incidence relative, puisque s'appliquant nécessairement à la totalité des observations dont ils étaient capables (En un mot, leur système de repère ne pouvait en être que peu affecté).

 

Pour ce qui est du fait que l’engin ne semble pas avoir été entendu par les deux enfants, à son arrivée, alors que la densité de l’air, plus faible (de 11%) à 1000 m d’altitude qu’au niveau de la mer, engendrait, d’une part, une portance moindre des pales et, en conséquence, une modification de leur incidence qui entraînait leur battement (« flapping » en langage des pilotes) et donc une augmentation de leur sonorité, et, d’autre part, un régime intensifié du moteur, par manque d’oxygène, donc, là encore, une augmentation de sonorité, il est à noter que cette même faible densité de l’air entraînait, par ailleurs, une moindre propagation des sons (au moins, à l’altitude de l’hélicoptère et celle du plateau), ce qui tendait à annuler les accroissements sonores. L'une des raisons, et non des moindres, pour lesquelles les témoins n'auraient pas entendu l'arrivée de l'hélicoptère pourrait avoir été la suivante : le troupeau de vaches et le chien de garde avaient sans doute perçu le bruit, très tôt, en tout cas plus tôt que des oreilles humaines situées derrière un mur ne pouvaient le faire, et auraient réagi aussitôt, de façon très bruyante. C’est ce qui est, d’ailleurs, corroboré par le fait que l’aîné découvre, le premier, l’engin et ses occupants, après s’être levé pour rappeler son chien et pour s’occuper du troupeau dont le comportement à tous était devenu étrange, s’étant tous mis à courir, avec agitation, et, pour le chien, à aboyer. Dans son agitation, le troupeau – qui est censé n’avoir meuglé, qu’au départ de l’engin – aurait couvert le bruit de l'hélicoptère, d'un bruit de sabots piétinant le sol et froissant l’herbe (peut-être fanée, à cette saison), d'autant plus facilement qu'il martelait un sol de plateau de fin d'été (un été dont les archives des stations météorologiques les plus proches indiquent qu’il n’a pas été pluvieux), un sol sans doute assez aride et donc dur, qui plus est, entouré d'un muret ayant pu réfléchir et réfracter le son et créer des interférences sonores, à l’intérieur de l’enclos (muret entourant entièrement le pré d'à peine un hectare). Bruit de sabots auxquels, en outre, se serait mêlé l'aboiement du chien, dont son maître venait d’augmenter l’excitation, en lui criant spontanément de ramener le troupeau qui était en train de passer, par-dessus le muret, dans le pré voisin – franchissement du muret qui, qui plus est, pourrait avoir causé l’entrechoquement bruyant de pierres, qui n’étaient pas jointoyées). D’autres facteurs de diminution du bruit pourraient avoir été : 1) le faible vent d’ouest ou nord-ouest, qui pourrait indiquer que l’appareil arrivait de la direction opposée (comme le confirmeraient, d’une part, le garde-champêtre, qui a entendu « un sifflement mélangé à un ronflement », depuis son habitation située à la sortie ouest de Cussac, donc à l’est du site, nonobstant que ce bruit lui a paru provenir de l’ouest, donc, a priori, plutôt au départ de l’engin, comme est, d’ailleurs, censé l’avoir établi un enquêteur du GEPAN, onze ans après les faits – une turbine étant, du reste, toujours plus bruyante au départ qu’à l’arrivée – et, d’autre part, le fait qu’un hélicoptère doit effectuer son atterrissage contre le vent, pour éviter d’être projeté contre un obstacle ; si, de prime abord, on ne comprend pas bien pourquoi, une fois atterri, il aurait offert le devant de son habitacle à l’est, alors même qu’il ne pouvait que s’être préparé à redécoller contre le vent, en ayant donc évité, au dernier moment, à quelques décimètres du sol, de pivoter pour se poser face à l’est, on notera qu’une manœuvre de recul est toujours possible au moment du décollage, et que, à ce moment précis, il pouvait être plus important de faire face aux arbres proches – pour mieux les surveiller – que face à un vent très faible) ; l’appareil pourrait ainsi être arrivé par l’est-sud-est, si l’on admet, du reste, premièrement, qu’il n’a pas survolé le village – peuplé de 280 habitants – où personne ne l’a ni vu ni entendu (hormis donc un habitant, à sa périphérie sud-ouest) (village plutôt situé à l’est-nord-est du site, et dont la sortie ouest est son point le plus au sud, à savoir sur une trajectoire est-ouest évitant le centre du village – étant, au demeurant, établi qu’un hélicoptère s’avère le plus bruyant, à l’avant de sa trajectoire), deuxièmement, qu’un agriculteur travaillant, au volant d’un tracteur, en plein champ, au nord-est du site, quoique au pied d’une colline lui fermant une partie du champ visuel et sonore, au nord-est, ne l’a ni vu ni entendu, et, troisièmement, que les deux enfants, blottis près du muret nord-nord-ouest, c’est-à-dire situés, quoique vraisemblablement de justesse, à l’extérieur du champ de vision depuis l'est-sud-est du ciel – outre qu’ils pourraient avoir été difficiles à distinguer du muret et des herbes, qui semblent avoir été assez hautes, au moment des faits, si l’on en juge à une photo montrant les témoins, bras croisés, debout contre le muret, et semblant dater des jours suivants – sont demeurés invisibles à l’équipage, qui pouvait alors se poser, pour effectuer discrètement sa mission ; 2) dans le cas d’une arrivée par l’ouest, l’appareil pourrait avoir accompli une boucle pour se placer, depuis l’est, face au vent, dans le cas d’une arrivée par le nord, une demi-boucle à même fin (dans les deux cas la boucle ayant pu éviter le village par l’ouest), et dans le cas d’une arrivée par l’est, deux demi-boucles en forme de S, pour contourner, dans un premier temps, le village, par le nord, avant de se placer face à l’ouest – dans tous les cas, la colline et le bruit du tracteur l’ayant alors soustrait à l’attention de l’agriculteur et des enfants, et le muret ayant parachevé la barrière acoustique entre lui et les enfants ; 3) le gradient vertical de température, à savoir l’augmentation ou la diminution de la température, au cours de l’élévation dans les couches les plus basses de l’atmosphère (constitutives de la troposphère et pouvant être des couches d’inversion thermique temporaire, contrevenant au principe de refroidissement avec l’altitude), l’augmentation causant l’affaiblissement de la propagation des sons au sol, et la diminution, son renforcement. En ce presque début de matinée (9 h. 30 solaire), il est fort possible que l’air ait été plus chaud à une altitude supérieure à celle du plateau, d’autant plus que les conditions anticycloniques favorisaient le rayonnement solaire (et donc le réchauffement de l’atmosphère), après avoir favorisé le rayonnement nocturne (et donc le refroidissement du sol) ; 4) enfin, hypothèse à ne pas exclure, d'autant plus que, selon les manuels de formation de pilote, elle n'implique pas, chez des pilotes expérimentés, un véritable accroissement de difficulté de l’atterrissage (notamment par temps sec, comme c’était le cas), y compris donc, sans doute, d’un atterrissage rendu déjà difficile par la proximité d'arbres : l’atterrissage de l’hélicoptère en autorotation, autrement dit moteur coupé. 1967 était l’année de sortie, en série limitée, d’une version du Bell G3 – le G3 B-2 – un peu plus puissante que le B-1 et offrant une meilleure fonctionnalité de l’appareil, en cas de coupure du moteur. La difficulté aurait été d'autant plus faible que la coupure du moteur n’aurait pas été accidentelle, le pilote ayant donc pu choisir le moment le plus propice pour l’effectuer. Une telle hypothèse offre l’avantage aussi bien d’étayer que d'être étayée par la nature secrète de la mission, que nous défendons.

 

Enfin, il va de soi que le plateau de Cussac, peu peuplé (environ 17 hab./km², à l’époque), situé en pleine région naturelle et offrant sans doute une bonne visibilité depuis le ciel, se prêtait bien à une telle opération spéciale de récupération de matériel et/ou d’agent, qui aurait dû avoir lieu en plein jour et qui pouvait être à haut risque. La raison pour laquelle elle aurait dû avoir lieu en plein jour pourrait avoir été l’une, au moins, des suivantes : 1) il s’agissait de rattraper, dans l’urgence, une récupération antérieure qui avait échoué, le contact et/ou sa livraison ne pouvant alors « planquer » plus longtemps ; 2) le contact était étranger au métier, pas aguerri pour effectuer repérages, déplacements, planques et guidages, de nuit, en pleine nature, dans une région aux nuits d’été pouvant être très froides ; 3) le vol de nuit d’un hélicoptère dans cette région d’altitude et de relief, où sévit souvent la brume, était trop risqué, à une époque où n’existaient pas les instruments de vision nocturne (hypothèse sans doute la plus probable). Quoi qu’il en soit, le livreur du matériel pouvait se trouver à l'aise, sur ce plateau, pour y déjouer une éventuelle filature ou d'éventuels regards importuns (surtout s'il devait avoir impérativement déjà revêtu sa combinaison). Il pouvait donc se trouver, depuis déjà assez longtemps, dans les parages immédiats de l’endroit où a atterri l’hélicoptère. N'oublions pas que les deux enfants se tenaient cachés derrière un mur de pierre. Depuis combien de temps y étaient-ils, sans interruption ? Etaient-ils bruyants, en jouant aux cartes ? En tout cas, le vent d'ouest ou nord-ouest, même très faible (inférieur à 11 km/h), ajouté à l'épaisseur du mur, nonobstant sa faible hauteur, ne pouvait que jouer en faveur de leur discrétion, relativement à quelqu'un situé à une centaine de mètres au nord-ouest (peut-être juché dans un arbre, en pleine frondaison). Quant au fait que la livraison aurait eu lieu près d'une route fréquentée – bordée d’une haie qui semble avoir été plus dense et continue, du côté longeant la route, que du côté est (il nous a quand même manqué des photos frontales de sa portion sud, pour bien en juger) – il pourrait s'expliquer d'au moins deux manières : premièrement, le livreur aurait pu avoir été déposé à cet endroit (à moins qu'il n'y soit arrivé de lui-même), endroit qui n’aurait pas été très éloigné de celui prévu pour l'atterrissage, et où il aurait, d'emblée, estimé avoir intérêt à demeurer, pour rester discret, notamment s'il avait déjà revêtu sa combinaison (l'agriculteur épandant du fumier dans un champ voisin, situé à environ 600 mètres au nord-est du lieu de l'atterrissage, aurait pu être un élément imprévu qui aurait gêné son déplacement et surtout son occupation de la position prévue) (Notons que l'usage d'un guidage lumineux ou radio l'autorisait à s'être déplacé, sans compter que le plan d'action devait probablement avoir intégré une certaine approximation, quant à la position) ; deuxièmement, il pouvait avoir intérêt à pouvoir regagner au plus vite un véhicule routier, stationné non loin ou prêt à venir le prendre.

 

Quant au risque pris par le pilote, il convient encore de noter que, à moins qu’il n’ait effectué un décollage en rotation autour de l’axe du rotor (manœuvre que les témoins auraient mémorisée, en la déformant en élévation oblique hélicoïdale), l’hélicoptère a effectué un décollage oblique en spirale (autrement dit hélicoïdal au rayon grandissant), manœuvre de décollage hélicoïdal qui est pourtant dangereuse, selon les experts, dans la mesure où l’appareil risque de perdre subitement sa portance et de n’avoir pas le temps de se reprendre, étant donné la faible altitude. L’hypothèse selon laquelle l’engin aurait décollé en rotation autour de son axe peut être justifiée par un rapport d’enquête privée, datant de 1968, qui affirme que « la sphère avait commencé à monter en décrivant de petits cercles », les cercles décrits par un hélicoptère en décollage oblique pouvant a priori difficilement être décrits par des témoins comme « petits », petitesse qui aurait d’autant plus accru le risque d’une perte de portance. A la rigueur, ils peuvent l’être relativement à d’autres ultérieurs décrits plus grands, tels, précisément, ceux censés avoir été observés. L’hypothèse la plus vraisemblable est donc que l’hélicoptère se soit élevé, sur une quinzaine de mètres, en tournant sur lui-même, puis, le treuillage terminé ou presque, qu’il ait effectué un grand cercle autour du site (pas nécessairement oblique, autrement dit ascendant), avant de partir en translation rectiligne ascendante. En faisant effectuer à l’appareil plusieurs tours sur lui-même puis un grand tour autour du site, le pilote pourrait avoir permis intentionnellement à ses coéquipiers d’observer, tous azimuts, les alentours (le grand tour élargissant finalement le champ d’observation, au moment décisif de s’éloigner du site), tout en gênant – en association avec un éclairage omnidirectionnel éblouissant – l’observation de l’appareil, depuis le sol, avant de pouvoir adopter son cours normal, en translation rectiligne. En 1967, les dispositifs, à bord, de détection et de prévention de menaces n’étaient sans doute pas aussi performants que ceux d’aujourd’hui (tels, par exemple, les caméras thermiques). Au cas où la seconde étape du décollage – succédant à celle de l’ascension verticale (pivotante) ayant permis à l’hélicoptère de dépasser les arbres – aurait eu lieu en plusieurs (vraisemblablement deux) tours obliques hélicoïdaux grandissants, elle confirmerait – ajoutée à un atterrissage préalable si près des arbres – que le pilote était un pilote d’exception, sélectionné pour des missions à très haut risque. Elle aurait eu pour finalité de poursuivre l’observation tous azimuts et la plus avancée possible, tout en accomplissant au plus vite la prise d’altitude.

 

En conclusion, on notera que le fait que le témoin le plus âgé dise, aujourd’hui, conserver un sentiment de culpabilité, à la suite de son expérience, pourrait signifier que, sur le coup, il avait bien eu le sentiment ou la conviction de voir quelque chose qu'il ne devait pas voir (du moins, du point de vue de ceux qu'il venait de surprendre, point de vue qu'il aurait pu facilement faire sien, intégrer, étant donné son âge). La particularité de l'attitude des quatre individus s'ajoutant à la particularité de leur présence et des moyens dont il disposait aurait été parfaitement évocatrice pour lui. 

 

 


[10] Sur le coup, ce défaut aurait pu être jugé sans grande importance par le pilote (ou son copilote), dans la mesure où, avant d'effectuer l'atterrissage, il aurait eu toute possibilité d'observer que la route départementale n'était alors pas empruntée, autrement dit qu'aucun véhicule ou piéton ne s'annonçait, depuis un, voire plusieurs kilomètres, à venir de Cussac et de Pontfarin, voire d’agglomérations plus lointaines. De plus, l'arrêt au sol avait sans doute été prévu pour être des plus brefs. On peut estimer qu’il n’a pas duré plus de deux à trois minutes. L'observation de la scène par les deux témoins est censée n'avoir duré, en tout et pour tout, que 30 secondes, quoique selon une évaluation effectuée, onze ans après les faits, et lors d’une reconstitution qui, au moins sur ce point, ne manque pas d’être problématique : la fille, qui est censée avoir commencé son observation, plusieurs secondes après son frère, évalue sa durée totale entre 25 et 35 secondes, quand son frère évalue la sienne entre 21 et 29 secondes, sans que l’enquêteur n’y trouve rien à redire. Cette évaluation de 30 secondes est probablement à doubler, voire à tripler, comme l’autorise encore un rapport d’enquête privée, datant de 1968, qui donne comme durée maximale de l’observation du phénomène une minute.

 

 

Sources :

 

Joël Mesnard et Claude Pavy, Rencontre « diabolique » sur le plateau de Cussac, in Phénomènes spatiaux, n° 16, juin 1968 (p. 27-32) (en accès libre sur le web) (article).

Jean-Marc Gillot, Cussac 1967-2007 (monographie en accès libre sur le site Les ovnis, mythe ou réalité).

Claude Poher, Retour sur le cas de Cussac (sur la base de l’enquête de 1978 du GEPAN, qu’il dirigeait) (page web).

Eric Maillot, Les ufologues et l’ovni de Cussac (page web).

Les mystères des ovnis – La rencontre de Cussac (site).

Les ovnis vus de près – L’observation alléguée à Cussac, France, 29 août 1967 (site).

Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI : Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, 1979 (p. 285-287) (livre).

Les OVNI et la Défense – à quoi doit-on se préparer ?, rapport du COMETA, 1999 (p. 35) (PDF accessible sur le web).

Yves Sillard (sous la direction de –), Phénomènes aérospatiaux non identifiés – Un défi à la science, 2007 (p.60-63) (livre).

David Rossoni, Eric Maillot et Eric Déguillaume, Les ovnis du CNES – 30 ans d’études officielles 1977-2007, 2007, chapitre 10 : Cussac (1967) (en accès libre sur le web) (livre).

Heli Archive – Bell 47G3B-1 (site).

Med’Air – Bell 47 G3 B1 Soloy (site).

Guide d'instructeur au pilotage – Hélicoptère (tc.canada.ca/fr/aviation/publications) (site).

Forums internet francophones et anglophones de pilotes et techniciens d’hélicoptère.

Planetcalc, calculatrices en ligne – Longueur de l'ombre (fr.planetcalc.com) (site).

Vol libre wiki  Gradient de température – Couche d'inversion (vollibre.fandom.com) (site).

John C. Swallow, John Hemingway et Pearlie Yung, Acoustique des champs de tir (Direction générale de la Gendarmerie Royale du Canada, 1999) (PDF en accès libre sur le web).

M. Van Damme, Acoustique environnementale – ch. 4 : Propagation du bruit dans l’environnement (Belgian Building Research Institute, 2006) (PDF en accès libre sur le web).

 

 

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